Le tu qui tue

Une nouvelle année débute avec son lot de bonnes résolutions.

Si on essayait de communiquer de manière non violente.

Le « tu qui tue » très souvent et sans mauvaise intention nous employons le « tu » qui tue ; « Tu n’as pas fait ton travail », « tu n’es pas disponible » , « tu n’as pas … »

Le tu qui tue

Certes il y a une part de vérité , mais derrière ce qui peut apparaître comme un fait ou une vérité , peut être y a t il une raison qui peut s’entendre ?

« La critique est facile , l’art est difficile  » pourquoi ne pas exprimer un besoin , un ressenti et commencer ses phrases par ‘ j’ai remarqué » j’ai le sentiment » … dans un monde ou la quête de la perfection et de la rapidité est omniprésente nos mots ( même s’ils ne représentent que 7% de la communication ) sont le poids des mots.

Le « tu » limite nos champs d’action et la mise en place d’une bonne communication orientée sur une solution et non un problème.

Et si nous exprimions plutôt un besoin ou un ressenti

Et si nous posions de questions ouvertes pour comprendre avant de juger  » Qu’est ce qui se passe » « Comment pourrions nous trouver des solutions

Et si nous étions assertif :

Décrivons des faits ou des ressentis

Expliquons pourquoi nous sommes « mal »

Nous recherchions des solutions communes pour notre interlocuteur comme pour nous

Nous mettions en avant les conséquences positives pour les deux .

Et oui communiquer prends du temps mais combien cela nous en fait gagner sur les conflits , malentendus , perceptions.

Et si nous exprimions des phrases positives plutôt que négatives !

Le « TU qui tue » et les mécanismes de défense:

Eviter le « Tu qui tue » évitera ou diminuera les mécanismes de défense inhérents à une communication négative

Les mécanismes de défense et de survie

Pour aller plus loin :

https://www.rh-conseil-formation.fr/comment-ameliorer-sa-communication-et-sa-gestion-du-temps/